La Guyane est plus connue pour sa forêt amazonienne que pour ses savanes, qui ne représentent que 0,3 % environ de son territoire. Pourtant, celles-ci revêtent une grande importance en termes de biodiversité, mais aussi de patrimoine historique et culturel. Comment les protéger aujourd’hui ? Un consortium interdisciplinaire de plusieurs laboratoires du CNRS, de l’Université Fédérale d’Amapá, l’Université de Guyane, l’Université d’Aberdeen et d’ONG (Groupe d’Étude et de Protection des Oiseaux en Guyane, Kwata) a voulu faire le point sur la question à partir de données tant sur l’archéologie, l’histoire, l’anthropologie, que sur la faune et la flore. Le résultat est un article de synthèse paru dans la revue Tropical Conservation Science.
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